allez tous au diable

Politique éditoriale en restructuration.

L'ironie et le mauvais goût sont des crénaux bouchés en voie de galvaudage, prochainement ici rien que des blagues politiquement correctes et premier degré.

C'est facile d'aimer, il n'y a aucun mérite à aimer son prochain. L'amour et la compassion sont les vertus des faibles.

La haine en revanche demande de passer par des années d'efforts et de souffrances, c'est une qualité qui s'acquiert au cours d'une lutte lente et douloureuse.

Observez le comportement des chiens et des chats élevés par des maîtres laxistes qui n'ont pas le courage de les châtrer et encore moins de brimer leur libido: ils jouent, se font des papouilles, se tiennent chaud, se battent peu, copulent comme des bonobos, sont d'une répugnante lascivité, leurs petits sont comblés d'amour et de tendresse par leurs mères jusqu'à ce que le maître les sépare sans quoi ce paisible petit monde serait contraint de s'entretuer faute de nourriture suffisante pour tous.

Chez l'homme, en raison de notre indice céphalique supérieur, nous prenons les devants: les petits sont battus, humiliés, brimés, mentalement châtrés, éduqués à haïr un bouc-émissaire quelconque, préparés à se faire exploiter toute leur vie, et c'est bien pour cela que les bébés et les enfants pleurent et hurlent sans cesse: nous les préparons à souffrir et à haïr. Cela s'appelle la civilisation, nous sommes cruels avec nous-mêmes pour prévenir la cruauté de dame nature.

Le malheur, la frustration et la haine est l'état normal et sain de l'homme civilisé. L'homme heureux, comblé et pacifique est un privilégié suspect et je ne verrais pas d'objection à rallumer les bûchers pour apprendre la vie à cette éspèce d'enfant de putain.

Observons le tronc de croyance qui a forgé notre civilisation, le monothéïsme, religions de paix et d'amour qui nous ont gratifié des massacres les plus abominablement jouïssifs, tout particulièrement à l'encontre des peuplades primitives dont le comportement sexuel rappellait celui de ces chiens et chats gâtés que j'évoquais ci-dessus.

LE JUDAISME

Minorité éternellement persécutée puisque minoritaire, l'histoire du Judaïsme est l'histoire de la vangeance d'un peuple d'esclaves.

Il est bien connu que le plat de la vangeance se déguste froid. Le plus froid possible.

Ainsi, après des siècles d'humiliations, les juifs ont patiemment pris le contrôle des postes clé de la politique, à l'aide de l'arme du faible: la ruse, d'où le quotient intellectuel supérieur des gens de cette confession et le juste mépris qu'ils ressentent envers les goys.

Une fois leurs pions enfin placés aux postes clé, ils ont à tout jamais marqué l'histoire par un massacre inégalé et qui restera admiré durant des siècles encore, la glorieuse barbarie communiste, qui ravala même le grand Adolf Hitler au rang de massacreur de seconde zone, de Poulidor de l'hécatombe.

Loin d'en avoir fini, ils cultivent leur art de la vangeance contre le reste de l'humanité grâce à l'état criminel d'Israël, à petite échelle, pour le sport, et soyez patients amis lecteurs, le pire reste à venir.

LE CHRISTIANISME

Religion sado-masochiste fondée sur l'adage "si l'on te frappe une joue, tends l'autre joue".

On pourrait reprocher à ce précèpte d'être arrangé en faveur de celui qui distribue les coups. Heureusement, dans son infinie bonté, ce précepte vous autorise à vous venger sur un plus faible que vous, qui à son tour tendra l'autre joue. C'est pourquoi de génération en génération nous cultivons l'art de battre et d'humilier nos enfants.

Le christianisme fonctionne à l'envers de la juste vangeance: c'est la religion de la perversité. Le mensonge selon lequel il suffirait d'un rituel folklorique pour laver tous nos crimes fait du christianisme la religion des criminels par excellence.

Religion qui au temps béni de la sainte inquisition a érigé le sadisme au rang d'art noble en faisant crever des milliers d'innocents sous la torture et sous les yeux de la foule en joie d'un si réjouissant spectacle. Religion qui a démontré à quel point l'homme occidental est un puissant barbare, capable d'exterminer les civilsations de deux continents entiers - parce que plus faibles - et d'en mettre un troisième à genoux pendant 400 ans, certes avec la complicité de leurs camarades juifs et musulmans.

Aujourd'hui légèrement calmés car c'est désormais au tour de ces derniers d'être en haut du podium de la barbarie, ils préparent patiemment leur retour sur le devant de la scène, en entretenant discrètement, pour le sport, leur talent quand à exterminer les plus pauvres, par l'interdiction du préservatif dans les deux continents de l'hémisphère sud déjà durement éprouvés par le passé. Sois-donc patient ami lecteur, le pire reste à venir.

L'ISLAM

La plus moderne des trois religions s'est débarrassée des archaïques mensonges obscurantistes des deux précédentes confessions, l'Islam est la religion de la raison, des mathématiques, de la maturité.

Fini le mensonge selon lequel l'homme aurait en lui quelques velléïté d'éthique, de compassion et de justice. Ca, c'est réservé à dieu.

Fini de croire que le voleur ne volera plus. Seule l'amputation des membres peut l'empêcher de convoiter le bien d'autrui.

Fini de croire que le tueur ne tuera plus. Seule la décapitation du criminel garantira la paix de la cité.

Fini de croire que l'homme serait capable de charité librement consentie, l'Islam le contraint à donner le quart de ses biens aux pauvres.

Fini de croire que la femme aime son mari et sait se contenter d'autre chose que du mâle dominant. Seuls l'enfermement et le flicage des femelles, le passage à tabac au moindre signe d'insoumission, et le menace de lapidation à la première escapade, garantissent la pérennité du foyer.

Fini la superstition selon laquelle nous serions dotés de la faculté de nous repentir du mal volontairement causé à autrui, et donc d'obtenir de dieu le pardon pour toutes nos conneries. l'Islam sait que le moindre de vos péchés sera expié, oeil pour oeil, dent pour dent, et qu'il est préférable que cela se fasse ici-bas que là-haut.

Fini de croire que l'homme serait apte à maîtriser ses démons, l'Islam assume au grand jour dans ses discours la haine et le sadisme propres à tout être humain, et nous laisse soulager ces bas-instincts par le verbe avant l'acte, ce qui a porté ses fruits puisque dans les faits historiques, l'Islam est le moins meurtrier des trois monothéïsmes. Toutefois, patiente ami lecteur, le pire reste à venir.

LE RESTE

Nous pourrions bavarder de même des autres civilisations, des jeux du cirque païens, des supplices chinois, des veuves hindouistes brûlées vives, du sadomasochisme samouraï... inutile de perdre du temps puisque nous aboutirons à la même conclusion: l'homme est né pour en chier un max et a le devoir de faire souffrir ses semblables.

Aimez votre pire ennemi comme votre frère: plus il vous fera souffrir, plus il vous rendra la vie insupportable, plus la mort vous apparaitra comme une délivrance plutôt qu'un châtiment, moins vous craindrez la faucheuse, et plus vous serez LIBRES.

Laissez-moi vous guider vers la lumière mes frères.

Pour rentrer dans ma secte, vous êtes priés de vous soulager de tous vos biens matériels auprès de votre serviteur, à commencer par les gonzesses.

La dépression n'existe pas!

L'un des plus beaux tours de magie de cette nouvelle religion de paix, d'amour et d'obscurantisme, c'est d'avoir convaincu les masses que les gens malheureux sont des malades mentaux.

A partir de là, on fait appel aux amalgames les plus lâches et sournois de l'inconscient collectif.

Les bas-instincts de chasse aux sorcières faisant le reste, on en déduit, sans besoin du moindre effort de réflexion, que ces enculés de dépressifs sont des vilains possédés du diable qu'il convient d'humilier, de droguer et de reclure...

...comme s'ils ne l'étaient pas déjà assez.

Ou comment pousser au passage à l'acte ceux qui sont tentés par le suicide, tout en prétendant le contraire.

Ce n'est pas pour rien qu'on leur prescrit des drogues dures et qu'on s'assure qu'ils en disposent d'une quantité suffisante pour se donner la mort par overdose en quelques secondes.

L'humanité est un troupeau de porcs cannibales rampant dans la boue.

Il convient de les égorger dans un premier temps. Une fois saignés à blanc, leur arracher la boyasse par le trou du cul, les démembrer puis disposer les morceaux sur une table. Enfin, tout jeter à la poubelle.